L'Hebdo #130 : Tensions commerciales, ce que les nouveaux tarifs douaniers changent pour les investisseurs et comment vendre une nue-propriété avant le décès de l'usufruitier ?

📈 Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine

1. Trump lance une guerre commerciale massive et désorganise l'économie mondiale

Le 2 avril, Donald Trump a déclenché un choc commercial d'une ampleur inédite en instaurant des droits de douane réciproques sur une longue liste de pays. Le détail des surtaxes — allant de 10 % à 54 % — a été dévoilé dans un tableau qui cible aussi bien la Chine (54 %) que l’Union européenne (20 %), le Japon (24 %), le Mexique (25 %) ou la Suisse (31 %). Même des pays émergents comme le Cambodge ou le Vietnam ont écopé de surtaxes de près de 50 %. Résultat : l’aversion au risque s’est généralisée sur les marchés. L’indice VIX, qui mesure la volatilité, a atteint 30 points, un sommet depuis l’été 2024. Les investisseurs redoutent une désorganisation complète du commerce mondial, alors même que la Chine a annoncé en fin de semaine une riposte à hauteur de 34 % sur les produits américains. La mécanique des représailles est enclenchée et pourrait étouffer la reprise économique mondiale. À cela s'ajoute un flou inquiétant sur l'évolution de ces mesures, encore susceptibles d’évoluer au fil des négociations. La guerre commerciale est désormais une réalité.

 

2. Wall Street chute lourdement et fait vaciller l’ensemble des marchés mondiaux

Les investisseurs américains ont été pris de court. Wall Street a décroché avec violence, signant l’une de ses pires semaines depuis la pandémie. Le Nasdaq 100 a plongé de 5,4 % en une séance, Apple, Amazon, Nvidia et Meta perdant entre 8 et 10 %. Le S&P 500 termine la semaine à -9,08 %, le Russell 2000 s'effondre de plus de 20 % depuis son sommet de novembre, ce qui le place officiellement en « bear market ». À l’origine de ce séisme : les droits de douane massifs décidés par l’administration Trump, et la crainte que l’économie américaine soit elle-même la première victime de cette politique agressive. L’or, qui avait touché un record à 3167 USD, a été temporairement vendu pour couvrir des appels de marge. Seuls les secteurs défensifs (santé, consommation de base, télécoms, foncières immobilières) tirent leur épingle du jeu. Les marchés attendent désormais un geste de la Fed. Jerome Powell est devenu l’espoir numéro un pour calmer les tensions, d’autant qu’il doit s’exprimer après la publication de chiffres de l’emploi encore robustes. La suite dépendra donc de sa capacité à rassurer sans alimenter la panique.

 

3. Les matières premières s’effondrent sous le double choc des droits de douane et de l’OPEP+

La tempête commerciale lancée par les États-Unis a violemment secoué le marché des matières premières. Le pétrole a dégringolé de 9,21 % sur la semaine. Le Brent s’échange autour de 66 USD, au plus bas depuis 2021. L’OPEP+ a surpris les marchés en annonçant une hausse de production bien plus forte qu’anticipé, à 411 000 barils/jour pour mai. Ce surplus d’offre arrive au pire moment : la demande mondiale est menacée par la montée du protectionnisme. Même tendance pour les métaux industriels. Le cuivre plonge à 8915 USD la tonne, tandis que l’aluminium, le zinc et le nickel suivent la même trajectoire. Du côté de l’or, après avoir atteint un sommet historique, les prix se sont repliés en raison de dégagements techniques liés à la forte baisse des marchés actions. Enfin, sur le front agricole, les exportations américaines sont directement visées. Le soja, le blé et le maïs cèdent du terrain à Chicago. Les marchés des matières premières envoient un signal clair : les tensions géopolitiques freinent l’activité économique mondiale et alimentent un cycle de défiance généralisé.

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📰 Le dossier de la semaine : Tensions commerciales, ce que les nouveaux tarifs douaniers changent pour les investisseurs

Le 2 avril, les États-Unis ont franchi un nouveau cap dans leur politique commerciale. Le président Donald Trump a annoncé l’instauration de tarifs douaniers dits "réciproques", bien plus élevés que prévu. À compter du 5 avril, toutes les importations seront soumises à un droit de douane minimum de 10 %, avec des taux encore plus élevés pour les pays affichant des déficits commerciaux importants vis-à-vis des États-Unis. Dans certains cas, les droits de douane atteindront jusqu’à 34 %, notamment pour les produits en provenance de Chine.

 

Cette décision marque un tournant historique : le taux moyen des droits de douane américains, qui s’élevait à 2,3 % en 2024, pourrait désormais grimper entre 20 % et 25 %. Il s’agirait du niveau le plus élevé depuis plus d’un siècle. De son côté, la Chine n’a pas tardé à répliquer en appliquant une taxe équivalente de 34 % sur certains produits américains.

 

Une réaction immédiate des marchés

Sans surprise, l’annonce de ces nouvelles mesures a provoqué une onde de choc sur les marchés financiers. Les investisseurs ont adopté une posture défensive : les bourses ont clôturé en net recul, tandis que les rendements des obligations d’État américaines ont chuté à leur plus bas niveau depuis octobre 2024. Ce mouvement de repli traduit une montée de l’incertitude économique.

Les nouvelles taxes douanières représentent en effet un facteur de ralentissement potentiel pour l’économie américaine. En alourdissant le coût des biens importés, elles risquent d’éroder les marges des entreprises et de peser sur la consommation des ménages, surtout si les prix augmentent plus rapidement que les revenus.

 

Une pression sur la croissance… mais un point de départ solide

Même si ces hausses de tarifs constituent un obstacle à la croissance, l’économie américaine aborde cette période de tension dans une position relativement favorable. Ces deux dernières années, le PIB a progressé à un rythme supérieur à sa tendance historique. Les entreprises du S&P 500 ont enregistré une hausse de leurs bénéfices de 18 % au dernier trimestre, un niveau inédit depuis fin 2021.

Le marché de l’emploi reste lui aussi dynamique. En mars, les créations de postes ont dépassé les attentes, avec 228 000 emplois non agricoles supplémentaires. Le taux de chômage, quant à lui, reste contenu à 4,2 %. Par ailleurs, les ménages américains ont des bilans solides, avec un niveau d’endettement inférieur à celui observé avant la crise sanitaire.

Ces éléments laissent penser que les États-Unis disposent encore de marges de manœuvre. La Réserve fédérale pourrait intervenir si le ralentissement venait à se confirmer, notamment en abaissant ses taux pour relancer l’activité.

 

L’effet sur l’inflation : une hausse temporaire des prix ?

L’un des effets immédiats des droits de douane est la pression qu’ils exercent sur les prix à la consommation. Les entreprises importatrices pourraient répercuter une partie du surcoût sur leurs clients, en particulier dans les secteurs où les marges sont déjà faibles, comme l’agroalimentaire. Cela dit, plusieurs facteurs pourraient atténuer cette inflation.

Certaines entreprises étrangères, soucieuses de préserver leurs parts de marché, pourraient choisir d’absorber une partie du surcoût. D’autres pourraient relocaliser leur production ou diversifier leurs sources d’approvisionnement, même si ces ajustements demandent du temps et des investissements.

Par ailleurs, un dollar fort pourrait compenser partiellement la hausse des prix des biens importés. Ce fut le cas lors des précédentes salves de tarifs imposées en 2018 et 2019. Toutefois, depuis le début de l’année, le billet vert a perdu en valeur, ce qui pourrait accentuer l’effet inflationniste à court terme.

Pour autant, la hausse des prix liée aux droits de douane reste probablement ponctuelle. Les anticipations d’inflation à long terme sur les marchés sont d’ailleurs en baisse depuis fin mars, signe que les investisseurs continuent de miser sur un retour à la stabilité des prix.

 

Investisseurs : comment réagir dans un contexte incertain ?

Face à cette nouvelle incertitude économique, il peut être tentant de modifier sa stratégie d’investissement. Pourtant, l’histoire montre que les décisions prises sous l’émotion sont rarement les meilleures. La volatilité fait partie intégrante des marchés financiers. En moyenne, le S&P 500 subit chaque année plusieurs replis temporaires de 5 %, et des baisses plus marquées tous les deux à trois ans.

L’essentiel est de rester aligné avec ses objectifs à long terme. Les plus fortes hausses de marché surviennent souvent au cœur des périodes les plus tendues. Rater ces jours clés peut avoir un impact significatif sur la performance globale d’un portefeuille. Mieux vaut donc rester investi et maintenir une allocation cohérente plutôt que de tenter d’anticiper les hauts et les bas du marché.

 

Quelles opportunités en 2025 ?

Malgré les turbulences, l’année 2025 a déjà montré l’utilité de la diversification. Alors que les actions américaines souffrent, d’autres classes d’actifs, comme les actions européennes, l'or ou les obligations de qualité, affichent de bonnes performances. Un portefeuille bien réparti permet d’amortir les chocs et de profiter des rotations sectorielles et géographiques.

Dans ce contexte, certaines thématiques semblent plus résistantes. Les secteurs de la santé ou des services financiers, par exemple, sont moins sensibles aux tensions commerciales. De même, les obligations investment grade continuent de jouer leur rôle de valeur refuge.

 

La décision des États-Unis d’augmenter massivement leurs droits de douane ouvre une nouvelle phase d’incertitude pour l’économie mondiale. Si elle provoque à court terme de la volatilité, elle ne remet pas en cause les principes fondamentaux d’un investissement réussi : discipline, patience, et diversification. Pour les investisseurs, le plus grand risque n’est pas la fluctuation des marchés, mais la tentation de réagir impulsivement. Dans ce climat tendu, ceux qui sauront garder le cap pourraient bien transformer la volatilité en opportunité.

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🏠 Immobilier : Vendre une nue-propriété avant le décès de l’usufruitier, comment faire et dans quels cas ?

Recevoir une nue-propriété en héritage ou par donation peut sembler être une chance. Mais dans certaines situations, ce type de transmission devient un casse-tête, voire un poids. Quand l’usufruit revient à un tiers avec qui les relations sont tendues ou quand le nu-propriétaire a besoin de liquidités, la question se pose : peut-on vendre une nue-propriété avant la fin du démembrement ? La réponse est oui, sous certaines conditions.

 

Une situation fréquente dans les familles recomposées

Le cas le plus courant est celui d’un démembrement de propriété au sein d’une famille recomposée. À la suite du décès d’un parent, l’enfant issu d’un premier mariage hérite de la nue-propriété d’un bien, tandis que le nouveau conjoint devient usufruitier. Autrement dit, le parent survivant peut habiter le bien ou le louer, mais l’enfant ne peut ni l’occuper, ni le vendre sans contraintes. Résultat : des objectifs divergents, des blocages, voire des tensions.

Autre exemple : des parents donnent la nue-propriété de leur résidence principale à leur enfant, tout en conservant l’usufruit. Sauf que cet enfant a un besoin urgent de trésorerie, souhaite acheter sa propre résidence ou n’a pas les moyens d’assumer les travaux et les charges qui incombent au nu-propriétaire. Dans ces cas, monétiser la nue-propriété devient une piste à explorer.

 

Est-ce légalement possible de vendre la nue-propriété ?

Oui. Sur le plan juridique, la nue-propriété est un droit réel. Le nu-propriétaire peut donc céder sa part sans demander l’autorisation de l’usufruitier. Mais attention : il faut d’abord vérifier s’il existe une clause d’inaliénabilité, notamment en cas de donation. Cette clause, souvent intégrée par précaution, interdit la vente du bien pendant une période donnée ou sans autorisation.

Dans le cadre d’un héritage, sauf mention expresse dans un testament, cette clause est en général absente. Le nu-propriétaire est donc libre de vendre sa part. Cependant, vendre une nue-propriété dont l’usufruit est encore actif pose des difficultés pratiques, notamment en matière de valorisation du bien et d’intérêt pour les investisseurs.

 

La vente encadrée de nue-propriété

Pour répondre à cette problématique, certaines entreprises spécialisées ont développé des offres innovantes. C’est le cas de Renée Costes, acteur reconnu du viager en France, qui a lancé un dispositif appelé Herit’Immo.

Le principe : permettre au nu-propriétaire de vendre sa part à un investisseur, généralement un particulier, tout en garantissant le maintien des droits de l’usufruitier. Le contrat est signé devant notaire, et l’investisseur devient propriétaire de la nue-propriété. Il récupérera la pleine propriété du bien au décès de l’usufruitier, sans jamais pouvoir l’occuper ou le louer entre-temps.

Cette formule permet d’apaiser les conflits, notamment lorsqu’un tiers impartial remplace un héritier dans la relation juridique avec l’usufruitier. Elle donne également au nu-propriétaire un capital immédiat pour financer un projet personnel.

 

Quels sont les frais à prévoir ?

La vente de la nue-propriété implique naturellement des frais. Renée Costes par exemple perçoit une commission comprise entre 7 % et 7,5 %, à la charge de l’investisseur. À cela s’ajoutent les frais de notaire, calculés sur la valeur de la nue-propriété et non sur la pleine propriété du bien.

Le contrat est conclu pour une durée indéterminée : il prendra fin au décès de l’usufruitier. Pendant toute cette période, des événements peuvent survenir (travaux, changements familiaux, décès prématuré). C’est pourquoi l’accompagnement juridique est essentiel pour sécuriser l’opération et prévoir toutes les clauses nécessaires.

 

Est-il nécessaire d’avoir l’accord de l’usufruitier ?

Juridiquement, non. Le nu-propriétaire peut vendre sans l’accord de l’usufruitier. En pratique, c’est fortement déconseillé. Peu d’investisseurs accepteront d’acheter une nue-propriété si l’usufruitier s’y oppose, car cela complexifie les échanges futurs. L’acquéreur prend aussi le risque que l’usufruitier n’entretienne pas correctement le bien, ce qui peut affecter sa valeur à long terme.

Le même raisonnement s’applique dans le cas d’un bien détenu en indivision. Chaque indivisaire a le droit de vendre sa part, mais l’acheteur potentiel devra accepter d’entrer dans une indivision parfois conflictuelle. En cas de désaccord, seule une action en justice permet de sortir de l’indivision, avec des délais longs et des incertitudes.

 

Quels sont les risques fiscaux ?

La nue-propriété issue d’une donation ou d’un héritage bénéficie d’une fiscalité allégée. Les droits de mutation sont calculés uniquement sur la valeur de la nue-propriété, et non sur la pleine propriété. Si le nu-propriétaire attend le décès de l’usufruitier, il récupère automatiquement la pleine propriété sans frais supplémentaires.

Mais s’il décide de vendre avant, il renonce à cet avantage. De plus, la revente d’un bien hérité ou donné est soumise à l’impôt sur la plus-value immobilière. Toutefois, des abattements progressifs s’appliquent selon la durée de détention : exonération totale au bout de 22 ans pour l’impôt sur le revenu, et 30 ans pour les prélèvements sociaux.

 

Faut-il privilégier la vente ou la patience ?

Tout dépend du besoin de trésorerie et de la stratégie patrimoniale. Si la situation financière est tendue, si le bien génère des tensions ou s’il s’agit d’un actif inutile à court terme, vendre la nue-propriété peut être pertinent.

Mais dans l’idéal, ce type de transmission doit être envisagé sur le long terme. La nue-propriété représente une opportunité de capitalisation : elle permet d’intégrer progressivement un bien immobilier à son patrimoine sans avoir à l’acheter à prix fort. À condition d’en avoir les moyens et la patience.

Avant toute décision, il est vivement recommandé de consulter un conseiller en gestion de patrimoine ou un notaire. Il pourra vérifier l’existence de clauses limitatives, évaluer les conséquences fiscales et proposer des alternatives plus avantageuses si elles existent.

 

En conclusion, la vente d’une nue-propriété avant le décès de l’usufruitier est possible, légale et parfois utile. Mais elle doit être maniée avec prudence. C’est une décision qui engage l’avenir et modifie la structure du patrimoine familial. L’essentiel reste de faire un choix éclairé, en cohérence avec ses objectifs et sa situation personnelle.

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💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :

  • LVMH regroupe La Samaritaine et le Bon Marché sous la même gouvernance.

 

  • Casino vend pour 71 millions d'euros d'actifs immobiliers.

 

  • Poste Italiane a acquis l'essentiel de la participation de Vivendi dans Telecom Italia, pour monter de 9,8% à 24,8% contre 684 M€ (0,2975 EUR l'action).

 

  • Aston Martin obtient un nouveau financement de 68 millions de dollars et veut vendre des parts dans l'écurie de F1.

 

  • UBS n'a pas l'intention de quitter la Suisse, selon son chef de la conformité.

 

  • Country Garden publie une perte 2024 équivalente à 4,5 milliards de dollars.

 

  • Les immatriculations de voitures en France ont baissé de 14,5% en mars. Les ventes de Tesla ont chuté de 37%.

 

  • Vinci décroche un contrat de 150 millions d'euros pour des lignes électriques au Brésil.

 

  • Boeing a ralenti la production du 737 Max à 31 avions par mois, selon Air Current.

 

  • Renault / Nissan (81,5 M€), Stellantis (74,9 M€) ont été les plus lourdement sanctionnés à l'issue d'une enquête de l'UE pour entente en matière de recyclage des véhicules hors d'usage.

 

  • Capgemini s'intéresserait à WNS (Holdings), qui pèse 2,8 Mds$ à New York, selon Reuters.

 

  • Meta a l'intention de lancer ses premières lunettes avec écran dès la fin de l'année pour plus de 1 000 dollars pièce, selon Bloomberg.

 

  • Visa fait une offre de 100 millions de dollars pour remplacer Mastercard en tant que nouveau partenaire d'Apple pour les cartes de crédit, selon le WSJ.

 

  • Toyota va installer une ligne de production dédiée aux véhicules électriques à l'usine japonaise de Takaoka d'ici l'automne, révèle Yomiuri.

 

  • Wise vise une marge bénéficiaire avant impôt à deux chiffres d'ici à l'exercice 2026.

 

  • Mitsubishi Corporation prévoit d'investir 27 milliards de dollars au cours des trois prochaines années pour stimuler la croissance.

 

  • Stellantis annonce le licenciement temporaire de 900 salariés américains à la suite de l'annonce de l'imposition de droits de douane. L'agence Fitch a réduit de BBB+ à BBB la notation crédit du constructeur à cause des mêmes droits de douane.

 

  • Alstom investit plus de 150 millions d'euros dans la capacité de production de ses sites en France.

 

  • Colas (Bouygues) remporte un contrat de 380 M€ pour opérer et maintenir des machines d'entretien ferroviaire pendant 8 ans.

 

  • Volkswagen investit 580 M€ en Argentine.

 

  • Intel et TSMC auraient conclu un accord préliminaire pour créer une coentreprise dans la fonderie de puces aux Etats-Unis, a rapporté The Information.

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Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse

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