L'Hebdo #058 : les différents types d'obligations, la tension locative à Paris et 10 actions à dividendes

📈 Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine

1. Les actions terminent la semaine en beauté

L'interaction entre les taux d'intérêt et les prix des actions continue d'être le principal indicateur de l'évolution des actions et des obligations. Les actions ont peu varié vendredi et ont enregistré une forte hausse sur la semaine, le S&P 500 enregistrant son troisième gain hebdomadaire consécutif. Cette hausse a prolongé le récent rebond, les actions américaines se situant désormais à environ 2 % du sommet de 2023 et à moins de 7 % du sommet historique de janvier 2022. Les secteurs cycliques, les investissements sensibles aux taux d'intérêt et les petites capitalisations, qui devraient bénéficier le plus d'une politique moins restrictive de la part de la Fed, ont été les moteurs de la hausse des actions au cours de ce mois de novembre. Ce thème s'est généralement maintenu cette semaine, les petites capitalisations, l'énergie, l'industrie, l'immobilier, les valeurs financières et la consommation discrétionnaire étant en tête. Les actions mondiales ont largement terminé à la hausse, tout comme les prix du pétrole, qui ont regagné une bonne partie du terrain après une chute brutale en début de semaine. Le Cac40 (+2,32%) et l'Euro Stoxx 50 (+3,22%) sont aussi en vert cette semaine, le Cac revenant au-dessus des 7,200 points, ce qui n’avait plus été le cas depuis le 29 septembre dernier. 

 

2. L'inflation de l'IPC en octobre aux Etats-Unis est inférieure aux prévisions

Les données relatives à l'inflation de l'indice des prix à la consommation (IPC) pour le mois d'octobre sont inférieures aux prévisions, l'IPC global augmentant de 3,2 % d'une année sur l'autre, en baisse par rapport à la hausse de 3,7 % enregistrée en septembre. L'IPC de base (qui exclut les denrées alimentaires et l'énergie) s'est également modéré, augmentant de 4 % d'une année sur l'autre contre 4,1 % le mois précédent. La hausse de 4 % de l'IPC de base est la plus faible depuis septembre 2021. La baisse de l'IPC global a été soutenue par la diminution des prix de l'énergie, l'indice de l'énergie ayant baissé de 2,5 % d'un mois sur l'autre en octobre. Du point de vue de la politique monétaire, la baisse de l'inflation de base devrait soutenir une Fed qui reste sur la touche et qui a probablement fini d'augmenter les taux d'intérêt.

 

3. Le marché crypto en mode pause

Cette semaine, le bitcoin a mis fin à sa progression constante sur cinq semaines, avec une diminution de 2%, se situant autour de 36 000 dollars. Parallèlement, l'ether, suivant la même tendance, a subi une chute plus marquée de 4%, tombant sous la barre des 2000 dollars. Ces mouvements interviennent alors que les investisseurs en crypto-monnaies nourrissent l'espoir qu'un ETF Bitcoin Spot sur le marché puisse établir un lien important avec la finance traditionnelle. Cela pourrait potentiellement attirer des investissements énormes dans le bitcoin. Toutefois, la SEC américaine n'a pas encore autorisé un tel produit financier, bien qu'une décision soit attendue dans les semaines à venir.

📰 Le dossier de la semaine : Les différents types d'obligations et comment elles fonctionnent

Après dix ans de faibles taux d'intérêt suivis d'une correction marquée en 2022, les responsables de fonds obligataires voient à nouveau les choses d'un bon œil, attirant des investissements dans leurs fonds. L'année 2022 a été marquée par une hausse rapide des taux d'intérêt, entraînant des pertes record pour les obligations. Toutefois, après cette période difficile, les fonds obligataires ont regagné leur attractivité. Selon Morningstar, un fournisseur de données financières, les investissements dans ces fonds en Europe ont surpassé les retraits pour le onzième mois consécutif en septembre.

 

Les obligations sont un instrument financier par lequel un investisseur privé ou institutionnel prête de l'argent à une entité, souvent une entreprise ou un gouvernement, pour une période de temps prédéterminée à un taux d'intérêt donné. L'entité qui émet l'obligation s'engage à rembourser le montant du prêt, également appelé principal, à une date d'échéance donnée. 

 

Dans un portefeuille d'investissement, les obligations ont souvent une double fonction. Tout d'abord, elles fournissent un flux de revenus réguliers et plus prévisibles grâce à leurs paiements d'intérêts réguliers. Elles sont donc attrayantes pour les investisseurs qui recherchent des rendements réguliers. Deuxièmement, elles permettent de diversifier efficacement un portefeuille d'investissement. Étant donné que les obligations ont historiquement une corrélation négative avec les actions (ce n'est pas trop le cas en ce moment), elles peuvent aider à compenser les pertes potentielles liées à d'autres investissements plus risqués.

 

Dans le vaste paysage financier, les obligations sont souvent un gage de stabilité et de sécurité. De nature très diverse, elles se présentent sous de nombreuses formes, chacune ayant ses propres caractéristiques et avantages. Avec autant d'options disponibles, il est essentiel de comprendre les types d'obligations les plus courants.

 

Obligations d'entreprise
Les obligations d'entreprise sont des titres à revenu fixe émis par des sociétés pour financer leurs opérations ou leurs expansions. Les investisseurs, privés ou institutionnels, qui achètent ce type d'obligations choisissent de prêter des fonds à l'entreprise en échange de paiements d'intérêts (le "coupon" de l'obligation) et du remboursement du principal à l'échéance.

 

Obligations du Trésor
Les obligations du Trésor sont généralement des investissements à long terme émis par un gouvernement. Elles ont une échéance de 10, 20, voire 30 ans. Ces types d'obligations sont garantis par le gouvernement du pays émetteur et sont donc souvent considérés comme une option d'investissement sûre. En raison de leur faible risque, elles offrent des rendements inférieurs à ceux d'autres types d'obligations. Toutefois, lorsque les intérêts du marché augmentent, les prix de ces obligations à long terme et à faible rendement peuvent être rapidement mis sous pression. Les investisseurs utilisent souvent les obligations du Trésor comme une option d'investissement sûre à long terme.

En fonction du pays ou de la région, elles peuvent souvent comporter des risques supplémentaires, notamment l'instabilité politique, la volatilité des taux de change et bien d'autres, ce qui en fait une option d'investissement comparativement plus risquée.


Obligations municipales
Les obligations municipales (appelées "munis") sont des titres de créance émis par les gouvernements des États, des villes ou des comtés pour financer des projets ou des opérations publics. Comme les autres types d'obligations, elles peuvent également fournir un flux d'intérêts régulier aux investisseurs. Aux États-Unis, elles ont l’avantage d’être exemptées des taxes fédérales ainsi que de la plupart des taxes de l’Etat et des communes. Les obligations municipales sont ainsi très attractives pour les individus étant fortement imposés sur le revenu. 


Obligations vertes
Les obligations vertes sont des titres de créance émis pour financer des projets respectueux de l'environnement, tels que les énergies renouvelables ou la réduction de la pollution, permettant aux investisseurs de soutenir le développement durable tout en percevant des intérêts. Elles sont similaires aux obligations ordinaires, mais les fonds sont affectés à des initiatives vertes. Bien qu'elles constituent un moyen d'investir de manière responsable, il est essentiel de s'assurer que les projets financés ont réellement un impact positif sur l'environnement et d'éviter l'écoblanchiment (greenwashing).

 

ETF obligataires
Les ETF obligataires sont des fonds négociés en bourse qui choisissent spécifiquement d'investir dans des titres obligataires. Ils offrent souvent une large diversification, car chaque ETF détient un portefeuille de nombreuses obligations différentes. Cela permet d'assurer la liquidité, la transparence des prix et des seuils d'investissement plus bas que pour les obligations individuelles. Cependant, tout comme les obligations individuelles, ils sont soumis au risque de taux d'intérêt et de crédit, entre autres risques.

 

Fonds obligataires
Les fonds obligataires, quant à eux, sont des véhicules d'investissement tels que les fonds communs de placement ou les ETF obligataires qui regroupent les fonds d'un grand nombre d'investisseurs pour acheter un portefeuille diversifié d'obligations. Cela permet une plus grande diversification et une gestion professionnelle, mais s'accompagne de frais.


Le choix entre des titres individuels ou des fonds obligataires dépend de vos objectifs d'investissement, de votre tolérance au risque, du niveau d'implication souhaité et de l'exposition à l'investissement que vous recherchez.



Lorsque vous investissez dans des obligations, vous devez prendre en compte des facteurs tels que les notations de crédit, qui indiquent la capacité de l'émetteur à rembourser sa dette, les taux d'intérêt, qui affectent le prix et le rendement des obligations, et les dates d'échéance, qui déterminent la date à laquelle vous recevrez le remboursement du principal. S'assurer de bien comprendre ces caractéristiques essentielles vous aidera grandement à prendre des décisions intelligentes et à aligner votre exposition aux investissements obligataires sur vos objectifs financiers globaux.


Aussi, il est essentiel de comprendre que les prix et les rendements des obligations ont une relation inverse. Lorsque les prix des obligations augmentent, les rendements diminuent, et vice versa. Cela s'explique par le fait que le paiement des intérêts fixes d'une obligation devient plus attractif par rapport au marché lorsque les prix baissent, ce qui augmente le rendement. Inversement, si les prix des obligations augmentent, le paiement des intérêts fixes est moins intéressant, ce qui réduit le rendement.
 


Comment acheter des obligations
Pour acheter des titres obligataires, vous avez deux options principales : les obligations individuelles ou les fonds obligataires. Les obligations individuelles peuvent être achetées par l'intermédiaire de courtiers, de banques ou directement auprès de l'émetteur. Cependant, il arrive que certains titres obligataires individuels ne soient pas accessibles aux investisseurs privés. Les principales raisons en sont les suivantes

  • Achat minimum élevé : Certaines obligations nécessitent un investissement initial important, souvent hors de portée des investisseurs individuels.

  • Accessibilité limitée : Certaines obligations, en particulier les obligations exotiques ou internationales, ne sont pas facilement accessibles au marché de détail.

  • Restrictions réglementaires : Certaines obligations, comme les obligations municipales ou certaines obligations de sociétés, peuvent être soumises à des restrictions les réservant aux investisseurs institutionnels.

 


Pour conclure, abordons quelques interrogations fréquemment soulevées autour des obligations, un sujet qui suscite de nombreuses questions. La notation d'une obligation, par exemple, est essentielle car elle reflète la solvabilité de l'émetteur et la probabilité de défaillance. Concernant la vente des obligations avant échéance, c'est possible sur le marché secondaire, mais le prix varie selon les conditions de marché. L'échéance influence également le prix des obligations, avec une sensibilité accrue aux taux d'intérêt pour celles à long terme. L'inflation, quant à elle, peut éroder la valeur des paiements d'intérêts fixes. Enfin, une obligation remboursable par anticipation offre à l'émetteur la possibilité de remboursement avant la date prévue. Ces éléments sont très importants pour comprendre les dynamiques du marché obligataire et orienter vos décisions d'investissement. 

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🏠 Immobilier : La tension locative à Paris, une situation complexe et multifactorielle

Paris est aujourd'hui confronté à une tension locative sans précédent. Cette situation, qui touche particulièrement les studios, est le résultat d'une combinaison de facteurs variés, allant au-delà des préparatifs des Jeux Olympiques. Explications. 

Les facteurs clés de cette tension locative

Selon Georges Garnier, cofondateur de Kokoon, spécialiste en chasse immobilière, la tension locative à Paris est due à quatre facteurs principaux. Ces facteurs incluent la croissance démographique, notamment due à l'afflux d'étudiants et de professionnels en mobilité, et la pénurie de logements disponibles. Cette situation est exacerbée par la hausse rapide des loyers, rendant la recherche de logements abordables de plus en plus difficile pour les résidents. On peut rajouter que, la loi Climat Résilience, interdisant la mise en location des logements qualifiés de "passoires thermiques", va retirer plus de 812 000 logements du marché locatif d'ici 2025, selon Yann Jéhanno, président du réseau Laforêt immobilier. Cette réduction de l'offre, couplée à une demande croissante, crée une situation de pénurie aiguë inédite.

L'impact sur les locataires et le marché immobilier

Les locataires parisiens sont confrontés à des délais d'attente prolongés, avec une moyenne de six mois pour trouver un studio. Cette pénurie de logements et la hausse des loyers ont également un impact sur le marché immobilier dans son ensemble, avec une augmentation des mandats de vente et un intérêt croissant pour les investissements locatifs. Selon une étude de LocService, la tension locative a explosé dans la plupart des grandes villes françaises. À Paris, Angers ou Bordeaux, il faut compter entre 6 et 7 demandes par logement, tandis que Lyon et Rennes connaissent respectivement 10,2 et 10,8 demandes par logement. Cette situation met en lumière les défis auxquels les locataires doivent faire face, notamment en termes de disponibilité et de coût des logements.

Les répercussions au-delà de Paris

Bien que Paris soit au cœur de cette crise locative, d'autres grandes villes françaises, telles que Bordeaux et Aix-en-Provence, connaissent également une hausse significative des loyers. Cette tendance nationale soulève des questions sur l'évolution future du marché immobilier français et les défis auxquels les locataires et les propriétaires doivent faire face. La tension locative a grimpé de 69% à Rennes entre janvier et août 2023, illustrant l'ampleur du problème à l'échelle nationale. On est face à une crise du logement dont les solutions n'ont pas encore été trouvées. 

Alors que la capitale se prépare pour les Jeux Olympiques, les défis liés au logement continuent de croître, nécessitant une attention et des solutions innovantes pour assurer un équilibre entre l'offre et la demande de logements abordables. Cette situation interpelle non seulement les acteurs du marché immobilier mais aussi les décideurs politiques, soulignant l'importance d'une approche holistique pour résoudre cette crise locative.

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🏦 Investissement : Une sélection de 10 actions à dividendes

Dans le contexte actuel de fluctuations économiques et de volatilité des marchés, les investisseurs en quête de rendement stable peuvent se tourner vers des actions distribuant des dividendes, particulièrement celles sous-évaluées. Ces entreprises, souvent caractérisées par leur solidité financière, sont en mesure de maintenir leurs dividendes même durant les périodes économiques turbulentes. Cette stratégie offre un double avantage : non seulement les investisseurs bénéficient de dividendes fiables et pérennes, mais ils minimisent également le risque de prix en acquérant des actions à un coût inférieur à leur valeur réelle. L'accent n'est donc pas uniquement mis sur le rendement immédiat, mais sur l'achat judicieux d'actions à dividendes durables et économiquement attractives.

 

Pour identifier les actions à dividendes les plus prometteuses, les analystes de Morningstar ont scruté les 75 actions offrant un rendement élevé au sein de l'indice Morningstar Dividend Yield Focus. Cet indice, représentant 97 % de la capitalisation boursière du marché américain, se concentre uniquement sur des actions générant des revenus qualifiés de dividendes, à l'exclusion des sociétés d'investissement immobilier. Le processus d'évaluation des analystes repose sur deux critères principaux : les notes Morningstar Economic Moat (l'entreprise est-elle capable de générer des rendements économiques excédentaires pendant une période prolongée) et Morningstar Uncertainty Ratings (la décote par rapport à la juste valeur exigée avant que Morningstar recommande l'achat ou la vente d'une action). Pour être considérées, les entreprises doivent présenter un "Moat Economic" jugé étroit ou large, accompagné d'une note d'incertitude variant de faible à élevée. Les entreprises avec une note d'incertitude très élevée ou extrême sont écartées.

En plus de ces évaluations, l'indice incorpore un examen approfondi de la santé financière des entreprises. Cette analyse inclut une mesure de la probabilité de défaut, fondée sur des données de marché et comptables, pour estimer la capacité d'une entreprise à honorer ses engagements financiers. Cette approche offre une perspective détaillée sur la solidité financière de chaque société.


Voici donc les 10 actions à dividendes les plus attractives à l'achat actuellement qui ont été identifiées. Ces titres sont des éléments clés de l'indice principal et se distinguent par leur sous-évaluation, comme en témoignent les notations élevées de Morningstar, oscillant entre 4 et 5 étoiles au 14 novembre. Leur performance a été évaluée en date du 17 novembre, à mi-journée, pour fournir une perspective actualisée sur leur rendement depuis le début de l'année : 

 

Comcast

  • Secteur d'activité : Services de télécommunications

  • Note Morningstar : 5 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 2,72%

  • Performance YTD : 21.60%

 

PepsiCo

  • Secteur d'activité : Industrie alimentaire

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Faible

  • Rendement du dividende en cours de période : 2,87%

  • Performance YTD : -7,80%

 

Wells Fargo

  • Secteur d'activité : Banque

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 3,09%

  • Performance YTD : 3,80 %

 

Johnson & Johnson

  • Secteur d'activité : Pharmacie, santé

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Faible

  • Rendement du dividende en cours de période : 3,14%

  • Performance YTD : -15,40%

 

Coca-Cola

  • Secteur d'activité : Industrie alimentaire

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Faible

  • Rendement du dividende en cours de période : 3,19%

  • Performance YTD : -10,30%

 

Gilead Sciences

  • Secteur d'activité : Pharmacie, santé

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 3,99%

  • Performance YTD : -12,60%

 

Bristol-Myers Squibb

  • Secteur d'activité : Pharmacie, santé

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 4,51%

  • Performance YTD : -29,60%

 

UPS (United Parcel Services)

  • Secteur d'activité : Logistique

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Médium

  • Rendement du dividende en cours de période : 4,53%

  • Performance YTD : -15,10%

 

Verizon Communications

  • Secteur d'activité : Telecom

  • Note Morningstar : 5 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Etroit

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 7,31%

  • Performance YTD : -8,10%

 

Altria Group

  • Secteur d'activité : Tabac

  • Note Morningstar : 4 étoiles

  • Morningstar Economic Moat : Large

  • Morningstar Uncertainty Ratings : Moyen

  • Rendement du dividende en cours de période : 9,45%

  • Performance YTD : -10,70%

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💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :

  • Société Générale songe à vendre sa filiale allemande Hanseatic Bank

 

  • Google en pourparlers pour investir dans la startup CharacterAI. De plus, le moteur de recherche retarde la publication de l'IA Gemini qui vise à concurrencer OpenAI.

 

  • Nokia clôture son programme de rachat d'actions de 600 millions d'euros.

 

  • Stellantis propose une indemnité de départ volontaire à 6 400 employés aux Etats-Unis.

 

  • Nvidia met à jour sa puce phare pour gérer des systèmes d'intelligence artificielle plus importants.

 

  • Ferrari va embaucher 250 personnes au cours du premier semestre de l'année prochaine et lancer un plan d'actionnariat salarié.

 

  • Danone fait décoller la petite société canadienne Else Nutrition après un projet d'accord de licence.

 

  • Bain Capital cherche à se séparer de Varsity Brands, qui pourrait être valorisé 6 Mds$, selon Reuters.

 

  • Atos et Microsoft signent un accord de partenariat de trois ans pour le développement d'applications d'intelligence artificielle.

 

  • Siemens Energy s'attend à une nouvelle perte de plusieurs milliards dans l'éolien. En parallèle, le gouvernement allemand lui accorde une garantie de 7,5 milliards d'euros.

 

  • Airbnb achète GamePlanner.AI pour accélérer les capacités d'intelligence artificielle.

 

  • Hydrogène de France devient co-développeur du giga-projet de production d’hydrogène vert White Dunes au Maroc.

 

  • Cisco coule de 11% mercredi hors séance après des performances décevantes.

 

  • Adobe craint un avertissement antitrust de l’UE dans le dossier Figma.

 

  • Microsoft dévoile deux puces conçues sur mesure pour l’IA.

 

  • Kering émet 800 M£ d’obligations à 3 et 9 ans.

 

  • S&P relève la note de crédit de Vallourec de "BB-" à "BB", avec une perspective positive.

 

  • Alibaba chute de 8% à Hong Kong vendredi après ses résultats et surtout l'abandon de la scission de l'unité "cloud".

 

  • IBM retire ses publicités de X après une avalanche de tweets controversés d'Elon Musk.

 

  • Le London Stock Exchange veut racheter 1 Md£ d’actions en 2024.

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Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse

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