L'Hebdo #096 : Faut-il s'inquiéter de la chute des marchés de la semaine dernière, les 4 techniques pour louer plus de 12 jours sa résidence principale et les 5 avantages de l'or

📈 Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine

1. Une semaine mouvementée sur les marchés financiers

 

Cette semaine a été particulièrement agitée sur les marchés financiers. Au début de la semaine, l'indice Nikkei a enregistré une forte baisse en réponse à la première augmentation des taux d'intérêt au Japon depuis longtemps. Cette décision a provoqué une appréciation du yen, ce qui a pénalisé les entreprises japonaises orientées vers l'exportation, car un yen plus fort rend leurs produits plus chers à l'étranger. Par ailleurs, cette situation a également marqué la fin du "carry trade", une stratégie d'investissement où les investisseurs empruntent dans une devise à faible taux d'intérêt, comme le yen, pour investir dans des actifs à rendement plus élevé dans d'autres devises.

Après la réaction initiale, jugée excessive, des marchés lundi, les bourses mondiales ont progressivement retrouvé leur stabilité, soutenues par des données économiques rassurantes sur l'emploi aux États-Unis. Cet épisode illustre bien la nervosité actuelle des investisseurs, qui réagissent vivement aux changements dans les politiques monétaires et aux indicateurs économiques, montrant une certaine fragilité dans la confiance des marchés. Dans l'ensemble, les marchés ont réussi à réduire leurs pertes pour la semaine pour terminer pratiquement inchangés. 

 

2. La croissance des bénéfices des entreprises reste forte 

 

89 % des entreprises du S&P 500 ont publié leurs résultats du deuxième trimestre, ce qui laisse entrevoir une performance solide. 78 % des entreprises ont dépassé les attentes des analystes avec une surprise à la hausse moyenne de 3,3 %. La croissance des bénéfices d'une année sur l'autre pour le trimestre est de 10,6 %, soit le taux le plus élevé depuis le quatrième trimestre de 2021. La performance sectorielle est générale, neuf des 11 secteurs ayant déclaré des bénéfices plus élevés d'une année sur l'autre. Nous pensons que l'élargissement continu de la performance des bénéfices pourrait permettre aux secteurs à la traîne de rattraper leur retard sur les actions des services technologiques et de communication, qui ont tiré les marchés vers le haut.

 

3. Les fondamentaux n'ont pas changé malgré les fluctuations du sentiment

 

Les inquiétudes selon lesquelles la Fed pourrait être en retard en réduisant les taux trop tard, ainsi que le dénouement des transactions sur le yen japonais qui a déclenché des ventes techniques dans le monde entier, se sont combinées pour ébranler la confiance. En conséquence, le sentiment des investisseurs est passé de la complaisance à la peur en peu de temps. Si les inquiétudes périodiques concernant la croissance, l'incertitude liée aux élections et les risques géopolitiques accrus peuvent être des catalyseurs de la volatilité actuelle, en particulier à l'aube d'une période de l'année plus faible sur le plan saisonnier, nous pensons que le contexte fondamental reste favorable. L'inflation se rapproche de l'objectif, ce qui laisse une marge de manœuvre à la Fed pour l'assouplir ; l'économie continue de croître, mais à un rythme plus lent ; la productivité est en hausse ; et les bénéfices des entreprises augmentent. Nous devrions profiter des replis pour rééquilibrer, diversifier et déployer des capitaux frais. 

 

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📰 Le dossier de la semaine : Faut-il s'inquiéter de la chute des marchés de la semaine dernière ? 

Après une perte de 2 % la semaine dernière due à une vente massive en fin de semaine, les marchés d'actions sont restés sous pression ce lundi, avec le S&P 500 en baisse de 3 %. Le Dow Jones et le Nasdaq ont suivi une trajectoire similaire, avec des baisses respectives de 2,6 % (soit 1 034 points) et de 3,4 %. Cette différence de performance entre les trois indices met en évidence le rôle des actions technologiques dans ce déclin.

 

I. Les raisons de cette chute :

 

Les raisons de cette chute sont multiples. Tout d'abord, les inquiétudes croissantes concernant une récession ont été un facteur majeur. Le retournement récent des marchés boursiers américains est en grande partie alimenté par des craintes de récession, qui ont été déclenchées par un rapport sur l'emploi aux États-Unis jugé plus faible que prévu la semaine dernière. Ce rapport a semé le doute quant à la solidité de l'économie américaine, accentuant la nervosité des investisseurs.

 

En parallèle, les marchés mondiaux ont également subi une pression significative, notamment l'indice Nikkei du Japon, qui a chuté de 12 %. Cette divergence s'explique probablement par les différences de politiques monétaires : le Japon ayant récemment augmenté ses taux, alors que la plupart des autres grandes banques centrales ont opté pour des réductions de taux et des politiques plus accommodantes. Ces décisions ont provoqué des perturbations sur le marché du yen et des changes, contribuant à la sous-performance du Nikkei et, par ricochet, affectant les marchés financiers mondiaux.

 

Les actions technologiques, en particulier, ont joué un rôle central dans cette baisse. Des géants comme Apple et NVIDIA ont vu leurs valeurs chuter, entraînant une baisse générale des indices. Les secteurs de la technologie et des services de communication, qui avaient dominé le marché pendant une grande partie de l'année, ont été les plus touchés. En revanche, les secteurs dits défensifs ont mieux résisté, même si tous les secteurs et classes d'actifs ont terminé la journée en baisse.

 

Enfin, les obligations ont offert un refuge aux investisseurs, soutenant ainsi les portefeuilles équilibrés dans un contexte de marché en mode "risk off". Les obligations du Trésor américain ont vu leurs rendements baisser, passant sous les 3,8 % pour la première fois depuis plus d'un an, ce qui témoigne de la fuite des capitaux vers des actifs jugés plus sûrs. À cela s'ajoutent les inquiétudes géopolitiques, notamment la montée des tensions au Moyen-Orient, avec des menaces d'une frappe de représailles iranienne contre Israël, ce qui a contribué à l'atmosphère prudente sur les marchés.

 

 

II. Ce qu'il faut retenir de cette chute :

 

Les points essentiels à retenir de cette chute sont variés et apportent un éclairage important sur la situation actuelle des marchés.

 

Tout d'abord, la réaction aux craintes de récession semble exagérée par rapport à la réalité. Bien que les gros titres mettent en avant une probabilité accrue de récession, nous estimons que l'augmentation réelle de cette probabilité est bien plus modeste. En d'autres termes, l'économie n'est pas significativement plus proche d'une récession aujourd'hui qu'elle ne l'était il y a deux semaines, lorsque les marchés étaient proches de leurs sommets historiques. Le rapport sur l'emploi de la semaine dernière était certes décevant, mais il ne signale pas, à notre avis, un effondrement imminent du marché du travail ou de la consommation.

 

Ensuite, il est important de noter que la technologie, qui a été un moteur majeur de la hausse des marchés cette année, est maintenant en train de freiner cette progression. Les grandes capitalisations technologiques, après avoir mené la hausse, sont désormais en retard, ce qui montre que la baisse récente du marché est principalement due à la correction des segments les plus surchauffés, plutôt qu'à une vente généralisée des actions.

 

Un autre point crucial est l'existence de stabilisateurs naturels qui peuvent atténuer les craintes ayant provoqué ce recul. Nous pensons que cette situation renforce la possibilité que la Réserve fédérale commence son cycle de réduction des taux dès septembre. Des politiques monétaires plus accommodantes et la baisse des taux d'intérêt à long terme devraient offrir un soutien supplémentaire à l'économie. Bien que le débat se poursuive sur la rapidité avec laquelle la Fed pourra réagir pour amortir l'économie, il est généralement admis qu'une politique monétaire plus souple constitue un vent favorable pour les marchés financiers.

 

Bien que les replis du marché soient toujours inconfortables, il est essentiel de garder une perspective plus large. La volatilité, bien que désagréable, est un phénomène normal et peut même être bénéfique pour la santé à long terme des marchés. Avec un recul de moins de 10 % par rapport à son plus haut historique et une performance encore positive en 2024, le S&P 500 montre que, malgré la baisse récente, les fondations de ce marché haussier restent solides. Nous pensons que cette correction est plus une réaction naturelle après un rallye prolongé qu'un signe de faiblesse profonde des fondamentaux économiques.

 

 

III. Alors, on s'inquiète ? 

 

Les replis du marché sont toujours inconfortables, mais les investisseurs ne devraient pas paniquer. La volatilité a fait son retour après une période particulièrement calme sur les marchés en 2024. Bien qu'une baisse de mille points du Dow puisse sembler inquiétante, il est utile de garder une perspective pendant des phases comme celle-ci. Par exemple, la volatilité est normale, voire saine. En moyenne, le marché boursier connaît trois baisses de 5 % et une correction de 10 % chaque année. En 2024, avant ces derniers jours, le marché n'avait connu qu'un seul repli de 5 %.

 

Enfin, même avec la baisse de lundi, le S&P 500 n'a baissé que d'un peu plus de 8 % par rapport à son plus haut historique et reste en hausse de plus de 8 % en 2024, avec une progression de plus de 25 % depuis le repli d'octobre dernier.

En somme, nous ne minimisons pas l'impact de ce repli, ni ne suggérons qu'il s'inversera aussi rapidement qu'il est apparu. Mais selon nous, cela ressemble davantage à une correction naturelle après un rallye prolifique pendant la majeure partie de 2024, qu'à un signe d'une détérioration des bases fondamentales de ce marché haussier. Nous pensons que l'économie n'est pas sur le point de basculer dans une récession, les bénéfices des entreprises continuent d'augmenter, et la Fed est sur le point de commencer à réduire les taux. Cette combinaison n'a pas subi de changement négatif significatif la semaine dernière, malgré ce que les gros titres et la vente des actions pourraient suggérer. Il est possible que la volatilité continue et que la faiblesse persiste encore un certain temps mais nous pensons que les fondements de ce marché haussier restent intacts et que cette baisse finira par s'avérer temporaire.

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🏠 Immobilier : Réglementation location saisonnière, les 4 techniques pour louer plus de 120 jours

Dans les grandes villes françaises telles que Paris, Aix-en-Provence, Annecy ou Bordeaux, la location saisonnière est soumise à une réglementation stricte. Pour pouvoir louer légalement, il est indispensable de déclarer cette activité et d’obtenir un numéro d’identification, à indiquer sur toutes vos annonces. Ce numéro permet de comptabiliser le nombre total de nuitées pour chaque logement, même s’il est proposé sur plusieurs plateformes.

 

Cependant, si vous souhaitez louer votre résidence principale plus de 120 jours par an, des démarches supplémentaires sont nécessaires, notamment un changement d’usage auprès de la mairie, ce qui peut entraîner des coûts élevés. Pour rester en conformité avec la législation tout en optimisant vos revenus locatifs, il est souvent plus simple de ne pas dépasser cette limite. Mais si la demande et les opportunités vous poussent à envisager une durée de location plus longue, plusieurs stratégies peuvent être utilisées pour contourner cette contrainte. Dans cet article, nous vous présentons les quatre techniques qui vous permettront de louer votre bien au-delà de 120 jours par an sans enfreindre la réglementation.

 

1) Location de chambres : 

Pour être qualifié de meublé de tourisme, le logement doit être loué en totalité à l'usage exclusif du locataire. Selon l’article L324-1-1 du Code du Tourisme, les meublés de tourisme sont des villas, appartements ou studios meublés, loués à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile et qui y séjourne pour des périodes courtes (journée, semaine, mois). Si vous louez une chambre dans votre résidence principale, ou même toute votre résidence mais à plusieurs locataires en chambres séparées, cela ne relève pas, en théorie, du meublé de tourisme et n'est donc pas soumis à la règle des 120 jours. 

 

2) Bail mobilité :

Une autre solution pour dépasser les 120 jours tout en répondant à la demande de location courte et moyenne durée est d’utiliser le bail mobilité. Ce type de bail, signé pour une période de 2 à 10 mois, s’adresse principalement à des personnes en mission, en stage ou en séjour prolongé. Bien que le prix par nuit soit généralement inférieur à celui de la location saisonnière classique, la rentabilité reste intéressante car vous aurez moins de gestion locative à assurer (moins de rotation, moins de ménage). Pour attirer ce type de locataires, vous pouvez faire appel à des agences spécialisées ou simplement ajuster la durée minimale de séjour sur des plateformes comme Airbnb ou Booking.

 

3) Exception pour obligation professionnelle :

La règle des 120 jours est fondée sur la définition de la résidence principale, qui est le logement que vous occupez au moins huit mois par an. Cependant, l’article 2 de la loi de 1989 précise que ce critère ne s’applique pas en cas d’obligation professionnelle, de raison de santé ou de force majeure. Ainsi, si vous êtes régulièrement en déplacement pour des raisons professionnelles, ou si vous partagez votre temps entre deux domiciles pour le télétravail, vous pouvez justifier une location au-delà des 120 jours. Une jurisprudence récente a confirmé qu’un propriétaire parisien pouvait dépasser cette limite en justifiant d’obligations professionnelles, à condition que le logement reste sa résidence principale.

 

4) Échange de logement :

Enfin, si vous souhaitez louer votre logement en votre absence tout en voyageant ou en différant l’utilisation de votre bien, vous pouvez envisager l’utilisation de plateformes d’échange de nuitées comme HomeExchange. Les nuitées échangées via ces plateformes ne sont pas comptabilisées dans les 120 jours, ce qui vous permet de rentabiliser votre logement au-delà de cette limite sans contrevenir aux règles. Ces plateformes connaissent un succès croissant, ce qui augmente vos chances de trouver rapidement des partenaires d’échange. Cependant, veillez à prendre en compte les coûts associés, comme le ménage et les frais d'électricité, qui ne sont pas inclus dans ces échanges.

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🏦 Investissement : Les 5 avantages de l'or

L’or, souvent perçu comme vieillot, onéreux et réservé à une élite, est en réalité un investissement de choix, particulièrement en période d’incertitudes économiques et géopolitiques. Face à l’inflation persistante, aux tensions internationales comme la guerre en Ukraine ou le conflit israélo-palestinien, et aux bouleversements politiques tels que la décision de Joe Biden de ne pas se représenter à la présidence américaine, les investisseurs cherchent des moyens de sécuriser leur patrimoine. L’or pourrait bien être la solution idéale. Voici pourquoi : 

 

1. Une protection solide contre l’inflation et les crises : L’inflation est une menace constante pour le pouvoir d’achat, rendant difficile la préservation de la valeur de l’épargne dans des produits classiques. L’or, en revanche, conserve sa valeur intrinsèque, indépendamment des fluctuations des devises ou des marchés financiers. Par exemple, durant les années 1970, en pleine crise inflationniste, le prix de l’or a explosé, passant de 35 USD l’once en 1971 à 850 USD l’once en 1980. De même, pendant la crise de 2008, alors que les marchés boursiers s’effondraient, l’or est passé de 800 USD l’once en 2007 à plus de 1 900 USD en 2011. Plus récemment, lors de la pandémie de COVID-19, l’or a atteint un sommet de 2 070 USD l’once en août 2020, contrastant avec les baisses des marchés financiers. Ces exemples illustrent la capacité de l’or à servir de refuge en période de crise.

 

2. Un investissement accessible à tous : Contrairement à l’image élitiste qui lui colle à la peau, l’or est accessible à un large éventail d’investisseurs. Que ce soit sous forme de pièces ou de lingots, il existe une grande variété de formats et de prix. Par exemple, un lingotin d’un gramme peut être acquis pour moins de 100 euros, et certaines pièces d’or sont disponibles pour moins de 150 euros. Cette diversité permet à chacun d’élaborer une stratégie d’investissement adaptée à son budget, loin des clichés d’un or réservé aux plus riches. Vous pouvez aussi acheter des OPCVM ou des ETF qui répliquent le cours de l'or. 

 

3. Diversification et réduction des risques : L’intégration de l’or dans un portefeuille d’investissement permet de réduire les risques grâce à sa faible corrélation avec les autres classes d’actifs comme les actions ou les obligations. En période de baisse des marchés, l’or ne suit généralement pas la même tendance, ce qui en fait un excellent outil de diversification. En plus de protéger contre les pertes, l’or peut offrir des rendements attractifs sur le long terme. Sur les 20 dernières années, l’or a affiché une performance impressionnante avec une croissance de près de 573%.

 

4. Une liquidité importante : L’un des grands avantages de l’or réside dans sa liquidité. Contrairement à d’autres investissements qui peuvent être difficiles à vendre sans subir une perte, l’or est facilement négociable partout dans le monde. Que vous soyez à New York, Tokyo ou Paris, l’or bénéficie d’une reconnaissance internationale et peut être revendu rapidement, souvent à des conditions avantageuses.

 

5. Des avantages fiscaux intéressants : En France, l’or d’investissement bénéficie d’une fiscalité particulièrement avantageuse. Il est exempt de TVA, ce qui constitue une économie notable lors de l’achat. De plus, lors de la revente, deux régimes fiscaux sont proposés : la taxe forfaitaire sur les métaux précieux à 11,5% ou la taxe sur la plus-value à 36,2%, avec un abattement progressif après deux ans de détention. Cet avantage permet de choisir le régime le plus favorable en fonction de la durée de détention. En outre, l’or n’est pas soumis à l’impôt sur la fortune, ce qui en fait un actif particulièrement attractif pour les investisseurs soucieux de préserver leur patrimoine.

 

En résumé, loin d’être un investissement dépassé, l’or offre une multitude d’avantages. Il constitue une protection efficace contre l’inflation et les crises, est accessible à un large public, permet de diversifier un portefeuille tout en minimisant les risques, offre une grande liquidité et bénéficie d’une fiscalité avantageuse. Pour toutes ces raisons, l’or s’affirme comme un choix judicieux pour sécuriser et faire fructifier son patrimoine dans un contexte économique incertain.

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💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :

  • Les liquidités de Berkshire Hathaway atteignent 277 milliards de dollars alors que Buffett réduit sa participation dans Apple.

 

  • Société Générale vend ses unités de banque privée au Royaume-Uni et en Suisse pour environ 1 milliard de dollars à l'UBP.

 

  • Le retard de la nouvelle puce d'IA de Nvidia pourrait affecter Microsoft, Google et Meta, selon The Information.

 

  • ArcelorMittal a bouclé le rachat d'environ 28,4% du capital de Vallourec auprès d'Apollo.

 

  • Commerzbank va racheter 600 M€ d'actions.

 

  • Roche envisage de céder sa société de données sur le cancer pour un montant de 1,9 milliard de dollars, selon le FT.

 

  • Deutsche Telekom annonce un bénéfice en ligne au deuxième trimestre et relève ses perspectives en matière de flux de trésorerie disponible.

 

  • Meta revient sur le marché obligataire et émet 10,5 milliards de dollars de dette.

 

  • Shiseido devient la dernière marque de luxe touchée par la crise chinoise, ses actions chutent.

 

  • Toyota réduit de 5% ses prévisions de production mondiale de véhicules pour 2024. 

 

  • Le bénéfice de Generali au premier semestre est en hausse malgré l'impact des catastrophes naturelles.

 

  • Delta Air Lines évalue à 380 M$ la perte de revenu liée à la panne informatique due à CrowdStrike.

 

  • Walt Disney va dépenser 5 milliards de dollars en Europe et au Royaume-Uni pour de nouvelles superproductions, selon le Financial Times.

 

  • Le fabricant de scooters Ola fait ses début sur le marché indien, qui accueille sa plus grosse IPO en deux ans.

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Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse

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