L'Hebdo #048 : comment rejoindre le CAC40, l'impact du coût du crédit et trois idées d'investissement pour finir 2023
📈 Les news de la semaine
1. Les marchés en baisse cette semaine
Les nouvelles coupes annoncées dans la production pétrolière et des statistiques confirmant le ralentissement économique en Chine et en zone euro ont ravivé quelque peu l'aversion au risque des opérateurs cette semaine sur les principales places financières. La volatilité a resurgi à l'approche des décisions des banquiers centraux et les marchés actions subissent quelques dégagements après une période estivale assez calme. Aux Etats-Unis, le secteur des services a été plus performant que prévu en août, tandis que les demandes hebdomadaires d'allocations chômage ont été moins nombreuses qu'anticipé, alimentant les craintes de taux élevés sur une plus longue période.
Sur la semaine, le CAC40 et l'Eurostoxx 50 perdent respectivement 1,25%,- et 1,15%. Le S&P500 et le Nasdaq 100 perdent 1,61% et 2,06%
2. Tous les regards se tournent vers l'inflation la semaine prochaine
Aux États-Unis, l'inflation globale et l'inflation de base de l'IPC (indice des prix à la consommation) pour le mois d'août seront publiées le mercredi 13 septembre. On s'attend à ce que l'inflation globale augmente, passant de 3,2 % à 3,6 % en glissement annuel, en raison de la hausse des prix du pétrole et du fait qu'il est plus facile de dépasser les comparaisons annuelles. L'inflation de base, en revanche, devrait diminuer, passant de 4,7 % à 4,3 %. L'inflation de base devrait poursuivre sa tendance à la baisse, car les composantes logement et loyer commencent à ralentir dans les paniers de l'IPC. Les tendances récentes au ralentissement de la croissance des salaires devraient également être favorables à l'inflation de base à long terme, car elles pourraient entraîner un ralentissement de l'inflation des services. De manière plus générale, alors que l'inflation globale peut être plus volatile, une tendance à la baisse de l'inflation de base sera un répit bienvenu pour les marchés.
3. La domination du secteur technologique a marqué une pause ces derniers mois
Une grande partie des gains du S&P 500 en 2023 a été tirée par l'enthousiasme suscité par l'intelligence artificielle (IA), ce qui a entraîné de solides performances pour le secteur technologique. Toutefois, au cours des trois derniers mois, le secteur des technologies de l'information n'a enregistré que des gains modestes après avoir connu une progression impressionnante au premier semestre de l'année*. Le secteur de l'énergie a été le plus performant au cours des trois derniers mois, affichant des rendements de plus de 12 %* en réponse à la hausse des prix du pétrole. Mon orientation sectorielle opportuniste est relativement équilibrée dans le contexte actuel, favorisant les valeurs de consommation discrétionnaire compte tenu de la vigueur des consommateurs américains. Pour tous les autres secteurs, je reste neutre.
📰 Le dossier de la semaine : Comment les entreprises obtiennent une place dans le prestigieux indice CAC40?
Edenred a fait son entrée dans l'élite de la Bourse de Paris le 19 juin alors que Vivendi a été évincé. Le CAC 40, l'indice phare de la Bourse de Paris, est souvent considéré comme le Saint des saints de la finance française. Il regroupe les 40 plus grandes entreprises de la place boursière parisienne. Pourtant, son fonctionnement et ses critères de sélection restent souvent méconnus du grand public. Comment une entreprise cotée fait-elle pour intégrer le CAC 40 ? Quels sont les avantages à rejoindre cet indice prestigieux ? Et quels sont les critères étudiés par le Conseil Scientifique des Indices pour décider des entrées et des sorties ?
Avant, rappelons ce qu'est le CAC 40. C'est le principal indice boursier en France. Il regroupe les actions des 40 plus grandes entreprises françaises cotées en Bourse. Tous les secteurs d'activité y sont représentés, et sa composition est régulièrement revue pour maintenir cet équilibre. Créé en 1988, il est l'indicateur de référence de la santé économique du pays.
Le CAC 40 utilise depuis 2003 un système de capitalisation boursière flottante. Cela signifie que le volume de titres disponibles à l'achat pour une entreprise donnée est pris en compte dans le calcul de l'indice. Cela permet aux entreprises plus petites d'avoir une chance de figurer dans l'indice, en dépit de la taille des grandes entreprises souvent détenues par l'État.
1. Les critères d'inclusion au CAC 40
L'intégration d'une entreprise dans le CAC 40 est décidée par le Conseil Scientifique des Indices (CSI). Ce comité indépendant est composé de sept membres, dont des régulateurs, des professeurs et des analystes. Il se réunit au moins quatre fois par an pour décider des entrées et des sorties de l'indice.
Le CSI utilise deux critères principaux pour sélectionner les entreprises :
Le montant des capitaux échangés sur l'année écoulée. En d'autres termes, le volume de trading des actions de l'entreprise.
Le capital flottant, c'est-à-dire la part du capital de l'entreprise qui peut être échangée sur le marché.
Si une entreprise voit la taille et le cours de ses actions augmenter significativement, elle peut être sélectionnée pour intégrer le CAC 40. A l'inverse, si ces deux critères diminuent, elle peut être rétrogradée à l'indice inférieur, le CAC Next 20.
2. Le processus de sélection
Le processus de sélection est très factuel. Le CSI réalise un classement des entreprises en fonction de leur taille, de leur capitalisation boursière et de leurs liquidités. Ensuite, lors d'un vote à la majorité absolue, il décide des entrées et des sorties de l'indice.
Cependant, il est important de noter que le CSI a le droit d'exercer son libre arbitre. Par exemple, si deux entreprises sont très proches l'une de l'autre en termes de taille, de capitalisation boursière et de liquidités, le CSI peut choisir celle qui lui semble la plus appropriée pour intégrer le CAC 40.
Par ailleurs, le CSI peut également prendre en compte d'autres critères, tels que la nationalité de l'entreprise ou sa représentativité dans un certain secteur d'activité.
3. Les conséquences d'une intégration au CAC 40
Intégrer le CAC 40 peut avoir plusieurs avantages pour une entreprise. Tout d'abord, elle gagne une exposition au niveau mondial. En effet, le CAC 40 est suivi par de nombreux investisseurs internationaux. De plus, les entreprises du CAC 40 sont souvent perçues comme plus stables et plus fiables que les autres, ce qui peut attirer davantage d'investisseurs.
Aussi, intégrer le CAC 40 peut également avoir un impact positif sur le cours de l'action de l'entreprise. En effet, lorsque une entreprise intègre l'indice, les fonds indiciels qui répliquent le CAC 40 doivent acheter ses actions pour ajuster leur portefeuille. Cela peut entraîner une augmentation de la demande pour les actions de l'entreprise et donc une hausse de leur cours.
4. Les risques d'une sortie du CAC 40
A l'inverse, sortir du CAC 40 peut avoir des conséquences négatives pour une entreprise. Tout d'abord, elle peut perdre de la visibilité auprès des investisseurs internationaux. De plus, les fonds indiciels qui répliquent le CAC 40 doivent vendre ses actions, ce qui peut entraîner une baisse de leur cours.
Cependant, il est important de noter que sortir du CAC 40 ne signifie pas nécessairement que l'entreprise est en difficulté. Par exemple, une entreprise peut être rétrogradée à l'indice inférieur, le CAC Next 20, si sa taille, sa capitalisation boursière ou ses liquidités diminuent. Mais cela ne signifie pas forcément qu'elle est en mauvaise santé financière.
5. Les facteurs qui affectent le CAC 40
Plusieurs facteurs peuvent affecter la valeur du CAC 40. Parmi eux, on retrouve les événements politiques, les crises nationales et internationales imprévues, et les mouvements économiques.
Par exemple, les élections ou les projets de loi peuvent influencer la valeur du CAC 40, car ils peuvent affecter la santé des entreprises qui le composent. De même, une crise nationale ou internationale, comme la crise du coronavirus en 2020, peut avoir un impact significatif sur la valeur de l'indice.
Enfin, les mouvements économiques, tels que le boom technologique et de l'automatisation de 1999-2000, peuvent également affecter la valeur du CAC 40.
🏠 Immobilier : L'impact du coût du crédit sur le marché immobilier français
Le marché immobilier est un secteur économique sensible qui est étroitement lié au coût du crédit. Les taux d'intérêt des prêts immobiliers jouent un rôle crucial dans la détermination de la capacité des acheteurs à financer l'achat d'une propriété. Dans cet article, nous examinerons l'impact du coût du crédit sur le marché immobilier français. Nous analyserons les tendances actuelles des taux d'intérêt, l'évolution des prix de l'immobilier et les conséquences pour les acheteurs et les vendeurs. Nous discuterons également des facteurs macroéconomiques qui influencent le coût du crédit et proposerons des solutions pour atténuer les effets négatifs de cette situation.
Comment l'augmentation des taux d'intérêt affecte le marché immobilier français
Selon le courtier Cafpi, les taux des prêts immobiliers ont connu une augmentation significative ces derniers mois. En juillet, les taux moyens étaient de 3,59% sur 15 ans et de 3,72% sur 20 ans, en hausse par rapport au mois précédent. Cette augmentation des taux a un impact direct sur le coût du crédit pour les emprunteurs, ce qui rend l'achat immobilier plus cher.
L'augmentation des taux d'intérêt réduit le pouvoir d'achat des acheteurs potentiels. En effet, des taux plus élevés signifient des mensualités plus élevées, ce qui limite les montants que les acheteurs peuvent emprunter. Par conséquent, certains acheteurs sont exclus du marché immobilier ou sont contraints de réduire leurs attentes en termes de taille ou de localisation du bien.
En conséquence de l'augmentation des taux d'intérêt, la demande immobilière a diminué. Les candidats acquéreurs sont de plus en plus réticents à se lancer dans un projet immobilier en raison des coûts plus élevés associés aux prêts. Cette situation se traduit par une baisse significative de la production de crédits, avec une chute de plus de 50% selon l'Observatoire Crédit Logement. Parallèlement à l'augmentation des taux d'intérêt, les prix de l'immobilier en France montrent des signes de baisse significative.
Aussi, en raison de l'augmentation des taux d'intérêt et de la stagnation des prix de l'immobilier, de nombreux candidats acquéreurs ont déserté les agences immobilières et les bureaux de vente des promoteurs.
Malgré les difficultés actuelles sur le marché immobilier, il est important de noter que la situation pourrait se normaliser dans les années à venir. La neuvième hausse des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne, intervenue en juillet 2023, est présentée comme la dernière par sa présidente, Christine Lagarde. Cette annonce laisse espérer que le pic des taux d'intérêt a été atteint et que les taux pourraient se stabiliser voire diminuer à l'avenir même si selon les prévisions, la fin de la hausse des taux d'intérêt est attendue pour 2024. Cette stabilisation des taux pourrait contribuer à apaiser le marché immobilier et à redonner confiance aux acheteurs potentiels. De plus, une inflation maîtrisée serait également favorable à un environnement plus favorable à l'achat de biens immobiliers.
Les stratégies pour naviguer dans un environnement de taux d'intérêt élevés
Face à cette situation, il existe plusieurs mesures qui peuvent être prises pour atténuer les effets négatifs du coût élevé du crédit sur le marché immobilier.
Une des solutions consiste à encourager la construction de logements abordables. En augmentant l'offre de logements à des prix plus abordables, cela permettrait d'élargir la base d'acheteurs potentiels et de rendre le marché plus accessible pour les personnes à revenu moyen ou faible.
Il est également essentiel d'encourager les politiques de prêt responsables, tant du côté des banques que des emprunteurs. Les banques doivent être prudentes dans l'octroi de prêts et s'assurer que les emprunteurs ont la capacité financière de rembourser leurs dettes. De leur côté, les emprunteurs doivent également faire preuve de prudence dans leurs décisions d'achat et éviter de s'endetter au-delà de leurs moyens.
Enfin, il est important de promouvoir la stabilité économique et monétaire pour atténuer les fluctuations du coût du crédit. Des politiques macroéconomiques bien gérées et une politique monétaire stable peuvent contribuer à maintenir des taux d'intérêt raisonnables et prévisibles, ce qui favorise un environnement plus favorable à l'achat et à la vente de biens immobiliers.
Le coût du crédit a un impact significatif sur le marché immobilier en France. Les taux d'intérêt élevés réduisent le pouvoir d'achat des acheteurs, limitent la demande et rendent les transactions plus difficiles. Cependant, il est important de noter que la situation pourrait se normaliser à l'avenir avec la fin de la hausse des taux d'intérêt et une maîtrise de l'inflation. En attendant, il est essentiel de prendre des mesures pour atténuer les effets négatifs du coût élevé du crédit, telles que la stimulation de la construction de logements abordables et la promotion de politiques de prêt responsables.
🏦 Investissement : 3 idées d'investissement pour le reste de l'année 2023
Ceci n'est pas un conseil en investissement.
Compte tenu des pressions croissantes qui s'exercent sur l'économie de consommation, les acteurs du marché peuvent envisager les meilleures idées d'investissement pour le reste de l'année. Cela ne signifie pas qu'il faille se concentrer exclusivement sur ces titres cotés en bourse. Toutefois, si le marché dans son ensemble commence à faiblir, vous serez probablement content d'être exposé à des entreprises stables.
D'une manière générale, les meilleures idées d'investissement à ce stade sont centrées sur les produits de première nécessité. En d'autres termes, vous vous concentrez sur des entreprises qui resteront solide même si les conditions économiques se détériorent. C'est pourquoi vous pourriez envisager de laisser tomber les startups technologiques de haut vol et d'acquérir des actions de sociétés liées à des secteurs ennuyeux mais fiables en fin de compte.
En fait, les mois à venir pourraient être consacrés à la protection du patrimoine plutôt qu'à son acquisition pure et simple. Dans ce contexte, voici les meilleures idées d'investissement à envisager.
Allstate
Personne ne se lève le matin avec l'idée d'acheter des actions du géant de l'assurance Allstate, peu connu en France. Mais le secteur de l'assurance constitue l'une des meilleures idées d'investissement en raison de son pouvoir de fixation des prix.
Vous avez peut-être remarqué que les tarifs de votre assurance automobile ont augmenté (et de manière assez significative pour les habitants de certaines régions). Je suis certain que les raisons de ces hausses sont légitimes. Mais même si elles ne le sont pas, devinez quoi ? Vous devez toujours payer. C'est ce que l'on appelle le pricing power.
Pour être juste, les finances d'Allstate semblent désordonnées, avec un ratio trésorerie/dette très bas et quelques coups durs sur la marge bénéficiaire récemment. Néanmoins, la société affiche un taux de croissance impressionnant de ses revenus sur trois ans (par action) de 14,2 %. Et malgré cette performance, ALL se négocie à seulement 0,54 fois le chiffre d'affaires, ce qui est favorablement inférieur à 75 % de la concurrence.
En ce qui concerne la Bourse, les analystes prévoient un prix de 126,42 $, ce qui implique une hausse de plus de 14 %. Vous pourriez bien être entre de bonnes mains.
Volkswagen
Au milieu de la mégatendance de l’IA, la mégatendance des véhicules électriques est toujours aussi forte. Même si l'action souffre depuis plusieurs mois, mon premier choix dans le domaine des véhicules électriques est Volkswagen AG. Volkswagen se trouve souvent au sommet du podium en tant que plus grand constructeur automobile mondial. Le géant allemand rivalise avec Toyota Motor Corp année après année pour la première place, que ce soit en termes de livraisons d'automobiles ou de revenus.
En 2020 et 2021, par exemple, Toyota a vendu plus de voitures, mais Volkswagen a généré des revenus plus importants. En 2019, Volkswagen a vendu plus de voitures que Toyota et a généré des revenus plus importants.
Le groupe Volkswagen possède bien sûr la marque automobile Volkswagen. Mais elle possède également les marques Audi, Porsche, Bentley, Bugatti, Lamborghini, Ducati, Scania, Seat, Skoda et Man. Au total, les 120 usines de production de VW produisent et vendent entre huit et dix millions de voitures par an dans 153 pays… et ce, de manière très rentable.
Au cours des 12 derniers mois, par exemple, Volkswagen a enregistré un bénéfice brut de 56,3 milliards de dollars et un bénéfice net de 17,8 milliards de dollars – et ce, malgré divers défis liés à la chaîne d'approvisionnement, une guerre en Ukraine et une récession mondiale.
Republic Services
Lorsque la question des déchets se pose aux US, vous pouvez compter sur Republic Services comme l'une des meilleures idées d'investissement à l'heure actuelle. En hausse de près de 13 % depuis le début de l'année, RSG a perdu environ 3 % au cours du dernier mois. C'est peut-être l'occasion d'acquérir une décote relative. Après tout, quelle que soit l'évolution de l'économie en général, il faut bien que quelqu'un ramasse les ordures.
Si l'on considère que les Américains ont aujourd'hui plus de 1 000 milliards de dollars de dettes de cartes de crédit, ce cadre se traduit par de nombreux déchets. Et la persistance d'un comportement de consommation implique une production de déchets encore plus importante à l'avenir. Il est évident qu'en tant que spécialiste de l'élimination des déchets, Republic devrait faire le ménage (métaphoriquement parlant).
En outre, l'entreprise bénéficie d'un monopole naturel. Compte tenu de l'importance politique accordée aux directives environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), les concurrents potentiels ne peuvent tout simplement pas obtenir de permis pour construire de nouvelles décharges.
À Wall Street, les analystes considèrent RSG comme un achat modéré avec un objectif de prix de 166,83 $, ce qui implique un potentiel de hausse de plus de 15 %.
💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :
Saint-Gobain va intégrer l'Euro Stoxx 50 à partir du 18 septembre.
Thales et Orascom remportent un contrat de 300 millions d'euros en Egypte.
BMW prévoit une augmentation des ventes en Chine en 2023 selon son directeur financier.
Le président de L'Occitane renonce à une opération de privatisation.
Meta s'associe à LG Electronics pour développer des casques de réalité mixte.
JCDecaux remporte deux appels d'offres différents à Toulouse.
Apple signe un nouvel accord à long terme avec Arm pour la technologie des puces. La société a souffert cette semaine après la publication d'un rapport selon lequel les agences chinoises interdisent l'utilisation de l'iPhone.
Le groupe saoudien STC achète une participation de 9,9% dans Telefónica.
TotalEnergies devrait annoncer prochainement le lancement d'un projet d'exploitation au Suriname.
Nexity a cédé ses activités de promotion au Portugal à Orion Capital Managers.
Interparfums chahuté sur fond de craintes pour l'avenir des licences avec la Compagnie Financière Richemont.
Tod's triple son bénéfice d'exploitation au 1er semestre.
WeWork renégocie la quasi-totalité de ses baux et prévoit de quitter les sites "inadaptés et peu performants".
L'Autorité de la concurrence a infligé 31,2 M€ d'amendes pour entente à Vinci, Bouygues et trois autres entreprises impliquées dans le démantèlement d'un site nucléaire.
La holding de François-Henri Pinault (Kering) va racheter majoritairement l'agence de talents CAA sur la base d'une valeur d'entreprise de 7 Mds$.
Zalando et Sephora (LVMH) vont mettre fin à leur partenariat dans la beauté, lancé en 2021.
Soitec entre dans le CAC Next20 aux dépens d'Aéroports de Paris. Prise d'effet au 13 septembre.
Goldman Sachs prévoit une nouvelle vague de suppressions d'emplois.
Tesla installera des chargeurs dans 2 000 hôtels Hilton d'Amérique du Nord.
Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse